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#315 : Les vieux héros ne meurent jamais

Un yacht en envoyé par le fond par une frégate de la Marine américaine. Son propriétaire, Bronko Mensoza, est un trafiquant de drogue mais c'est aussi le fils d'un haut dignitaire colombien et il bénéficie de ce fait de l'immunité diplomatique. L'enquête conduit Harm et Mac jusqu'à trois retraités de la Navy.

Popularité


3.67 - 3 votes

Titre VO
Yesterday's Heroes

Titre VF
Les vieux héros ne meurent jamais

Première diffusion
24.02.1998

Photos promo

Artemus Sullivan (Ernest Borgnine)

Artemus Sullivan (Ernest Borgnine)

Harm (David James Elliott) intervient pour sauver Artemus

Harm (David James Elliott) intervient pour sauver Artemus

Mac en bikini (Catherine Bell) pour venir à la rescousse des vétérans de la Navy

Mac en bikini (Catherine Bell) pour venir à la rescousse des vétérans de la Navy

Plus de détails

Réalisateur: Greg Beeman
Scénariste: R.Scott Gemmill

315 / LES VIEUX HÉROS NE MEURENT JAMAIS

18H36GMT – AU LARGE DES CÔTES DE FLORIDE

Une embarcation, le Tropical Pleasure, tente d'échapper à un contrôle de police. Les gardes-côtes, en hélicoptère, en réfèrent à une corvette de la marine, l'USS BANCROFT, qui a un des leurs à son bord. Il sollicite l'autorisation d'utiliser la force pour la contraindre à stopper. Le commandant donne ordre de lancer un coup de semonce depuis le canon avant. Il demeure sans effet. Les hommes s'impatientent : le commandant autorise une deuxième menace, mais que celle-ci leur asperge le pont ! Au moment même où le canon est tiré, une violente explosion à bord du Tropical Pleasure l'envoie par le fond.

14H10 GMT – QG DU JAG – FALLS CHURCH – VIRGINIE

Dans le bureau de l'Amiral, WEBB est venu déplorer que la Marine ait cru bon de ravager le yacht d'un certain Enrique MENDOZA, à bord duquel se trouvait son fils unique. Il expose que l'homme est un diplomate très en vue et choyé par Washington, le ministre de l'alliance agricole pour l'Amérique Latine. Sait-il que son fils est un trafiquant de drogue ? WEBB contre ce type de question, ce parti pris qui ne plaide pas en faveur de la résolution diplomatique du conflit. Harm, qui a posé cette question, reçoit le soutien de son supérieur qui lui confie l'enquête. Seule compte la vérité, que ce soit ou non la Marine responsable de l'incident.

Sur le plateau, Bud interpelle Harm qui lui répond non : ils n'iront pas à DISNEYLAND ! Ce n'est pas ce que le lieutenant voulait suggérer, il souhaite être déchargé de cette enquête mais le capitaine ne veut même pas écouter sa requête, ils doivent se préparer à partir. Survient Harriet qui brandit victorieusement deux billets d'avion. Bud la déçoit, ils doivent remette ce voyage pour cause d'affaire urgente à résoudre. La jeune femme se heurte à Mac qui l'invite à la suivre dans son bureau, là, elle lui expose son souci: voilà trois fois déjà que son amant esquive une rencontre avec ses parents, deux ans qu'elle ne s'est pas rendue à Naples...au nom de cette ville, le major réagit, les parents d'Harriet habiteraient-ils l'Italie ? Non, il s'agit de Naples en Floride. Mac sourit, ce n'est qu'à deux heures de route de Miami : que ce soit donc Harriet et ses parents qui leur rendent visite...la jeune femme ne savait même pas qu'ils se rendaient en Floride ! Elle fulmine contre Bud !

1H20GMT – MIAMI BEACH

Branco MENDOZA parle au téléphone avec un de ses hommes de main quand arrive son père, accompagné de gardes du corps musclés. Les deux hommes s'embrassent mais Enrique MENDOZA en veut à son fils : il n'est pas même arrivé sur le territoire des États-Unis que, déjà, il s'attire des ennuis. Il assène une gifle magistrale au jeune homme et s'en retourne, non sans avoir exigé de lui qu'il lui remplace le yacht coulé ! Se frottant la joue, Branco MENDOZA, qui sait que l'explosion est étrangère aux coups de semonce lancés depuis l'USS BANCROFT, exige de son homme de main que les coupables soient immédiatement identifiés et châtiés.

13H50GMT – USS BANCROFT – AU LARGE DES CÔTES DE FLORIDE

Les avocats du JAG arrivent à bord alors que les plongeurs ont repéré l'épave du TROPICAL PLEASURE et s'apprêtent à faire connaître leurs premières constatations. Des profondeurs sous-marines, une voix féminine annonce la découverte d'une brèche de bonne taille dans la coque tribord, probablement due à une explosion. Cette dernière est externe car les traces de brûlures vont vers l'intérieur. Elle remonte avec elle des pièces éparses prélevées sur l'épave et les soumet à l'attention de tous, croquis à l'appui. Les brûlures décrites semblent correspondre aux dégâts qu'aurait pu causer une mine ; Harm désigne alors un petit morceau d'aimant ainsi que la sonde de profondeur du bateau : la seule partie métallique de toute la coque entièrement conçue en fibre de verre, l'endroit idéal pour y fixer une bombe...Bud confirme cette hypothèse en désignant à son tour ce qui pourrait être un morceau d'un crayon détonateur, l'ensemble constituerait alors les restes d'une vieille mine ventouse inutilisée depuis des décennies ; qui voudrait ainsi s'attaquer à une telle embarcation et pourquoi ? Quelqu'un ne chercherait-il pas à brouiller les pistes ?

20H27GMT – MIAMI BEACH

Harm et Mac sont aux mouillages et poursuivent leur enquête. Ils s'approchent de l'anneau de MENDOZA et sont surveillés, de loin et aux jumelles, par deux hommes âgés qui semblent inquiets de les voir déjà là. Harm les repère et ils prennent la fuite.

16H45GMT – POSTE DES GARDE-CÔTES – MIAMI – FLORIDE

Mac y est accueillie par le chef du poste qui l'installe dans un vaste bureau. Il lui décrit sommairement la situation et le nombre important d'ennemis susceptibles d'avoir ourdi l'attentat, MENDOZA n'étant absolument pas aimé dans la région. Il laisse à la jeune femme un épais dossier de coupures de journaux relatant toutes les innombrables méfaits de l'individu.

Pendant ce temps, Harm et Bud se rendent chez JUNGLE LARRY, fournisseur de matériel pour l'armée et la marine. Le tenancier, un homme entre deux âges haut en couleur, se souvient avoir eu en stock le type de vieilles mines décrites par les avocats mais elles étaient inoffensives et inutilisables en l'état puisque la loi lui fait obligation d'en retirer les détonateurs. Le commerçant n'en a plus, il a tout vendu il y a un an ; ses archives ? Il hait la paperasse et a tout dans la tête : oui, s'il revoit son acheteur, il préviendra immédiatement Harm qui lui laisse sa carte.

Fort de la description de l'acquéreur fournie par JUNGLE LARRY, le capitaine suggère d'aller se renseigner auprès des services des vétérans, exploiter la piste de l'ancien militaire spécialiste en explosif et retraité du coin.

Sur le parking du QG des garde-côtes, Harm et Bud croisent Harriet accompagnée de ses parents. La mère entreprend immédiatement le séduisant Harm qu'elle croit être Bud. Sa déception n'a d'égale que la colère de sa fille contre son amant qui semble la fuir : chacune des deux femmes s'emporte ensemble contre leur conjoint au grand amusement du capitaine.

Il rejoint Mac qui lui fait part du pedigree de MENDOZA, cela va de la simple contravention au délit d'agression aggravée mais à chaque fois Papa fait jouer son immunité diplomatique pour épargner à son fils les désagréments de poursuites et sanctions judiciaires. A la recherche d'un mobile pour l'explosion du yacht, l'attention des deux avocats est retenue par une coupure de presse qui relate la mort d'un jeune homme des suites d'un accident de jet-ski provoqué par Branco MENDOZA alors qu'il fuyait, déjà, un contrôle policier aux commandes d'une vedette rapide. La plainte déposée par les proches de la victime a dû être classée sans suite après la disparition de tous les témoins, les uns après les autres, à la veille de l'audience.

Bud entre, troublé, et préfère ne pas parler de sa première rencontre avec ses futurs beaux-parents. Il se jette dans le travail à corps perdu et tend un fax au capitaine. Tous les soupçons de ce dernier concernant la mine et son ancienneté sont corroborés par les expertises. La photo d'un certain SULLIVAN, qui apparaît sur la coupure de presse et qui serait le grand-père de la victime, correspond à la description donnée par JUNGLE LARRY : il convient donc de rechercher si cet homme n'est pas un militaire à la retraite, ancien spécialiste en explosif. La tâche est confiée à Bud.

19H30GMT – MAISON DE RETRAITE D'OCEANS WINDS – MIAMI – FLORIDE

Une infirmière renseigne Harm et Mac, Monsieur SULLIVAN, qu'ils cherchent, est dans la chambre 106. Les avocats frappent et entrent dans une petite pièce très propre où sommeille un vieil homme, couvert d'un plaid, installé dans un fauteuil roulant. Il ne répond pas à l'appel de son nom et Mac ne sent même pas son pouls qui doit battre très faiblement. Au contact, l'homme sort néanmoins de sa torpeur et, d'une main hésitante, avance une bonbonnière vers ses visiteurs. D'une voix hagarde, il réclame la gelée verte à laquelle il a droit tous les dimanches ; Mac lui répond qu'ils sont jeudi. S'excusant de l'avoir dérangé, les avocats prennent discrètement congé du vieillard. Par sa porte-fenêtre entrouverte entrent alors deux autres hommes qui lui demandent si ça a marché. Se levant et très alerte, Monsieur SULLIVAN sourit que oui, au delà même de toute espérance !

De retour au QG des garde-côtes, Mac et Harm sont immédiatement interrogés par Bud au sujet de l'alibi présenté par Monsieur SULLIVAN quant à l'explosion du yacht de MENDOZA. Pour Harm, l'état même de l'homme est un alibi mais Bud ne l'entend pas du tout de cette oreille : il ressort de ses recherches que l'homme est bien un ancien militaire, de l'EDS de surcroît, soit l'équipe de démolition sous-marine et qu'il y a quelques mois, il a participé avec une bande de copains à une épreuve de relais de 16km à la nage organisée au profit de la lutte antidrogue ; il a du mal à croire au handicap décrit par ses supérieurs... ! Les photos désignent bien le même homme, Harm et Mac concèdent s'être fait avoir.

De nuit, dans la marina, SULLIVAN, sur ses deux jambes ! et accompagné de deux autres vétérans, surveillent un hors-bord qui quitte rapidement la baie en même temps qu'ils écoutent une radio branchée sur la fréquence des garde-côtes, lesquels réclament des renforts pour arraisonner un navire suspecté de trafic de drogue. SULLIVAN veut en être mais ses coreligionnaires lui opposent leur manque de moyen. Dirigeant son regard vers un yacht à bord duquel Branco MENDOZA semble faire la fête avec quelques amis, SULLIVAN annonce avoir trouvé la façon de financer leur participation : ce sera avec l'argent de la drogue ! Deux vieillards descendent alors péniblement une rampe à la rencontre des trafiquants qui se gaussent de leur état mais, arrivés à leur hauteur, les vétérans les bousculent, jettent MENDOZA à l'eau et s'emparent de sa mallette. En courant, les anciens militaires rejoignent leur comparse qui les attend à bord d'une voiture dont le moteur tourne déjà.

2H10GMT – MIAMI BEACH

SULLIVAN regagne sa chambre avec la mallette : il y trouve Harm et Mac qui l'attendent. L'homme ne paraît pas surpris, encore moins pris en faute. Il nie mollement les allégations portées contre lui par les deux avocats et reconnaît même avoir dans sa valise, outre son déjeuner et un journal, un quart de million de dollars en billets non marqués. Il s'oppose quand même à ce que la mallette soit ouverte et s'emporte quand les militaires lui décrivent les dangers qu'il y a à combattre seul MENDOZA pour se faire justice soi-même. Confrontés à l'obstination de l'homme qui prétend, au delà de toute vengeance personnelle, aider le gouvernement dans sa lutte contre la drogue, Harm et Mac menacent d'en référer à la police mais l'homme se sait protégé : les deux avocats ont pénétré chez lui illégalement et ont procédé à une perquisition sans mandat : ils n'ont donc aucun intérêt immédiat à faire appel aux autorités. En s'en allant, Harm prend soin d'emporter avec lui une mine déjà confectionnée et trouvée dans les affaires de SULLIVAN.

Chez lui, MENDOZA est furieux de s'être fait dépouiller, il est certain d'avoir eu affaire à des professionnels et lance ses hommes à leur recherche. Il a un indice : le poste de radio oublié sur les lieux de son agression et qui porte l'estampille du magasin de JUNGLE LARRY....

Dans les jardins de la maison de retraite, à la manière d'un espion qui se saurait traqué, SULLIVAN va à la rencontre de ses amis et leur enjoint la discrétion. Ne serait-il pas temps de quitter le pays après avoir distribué l'argent volé à ceux des pensionnaires qui ont de gros besoins médicaux ? SULLIVAN rappelle leur mission et le pacte qu'ils ont scellé !

Bud expose le résultat de ses recherches concernant les anciens militaires pensionnaires, dans la région, de différentes institutions de retraite : ils sont nombreux mais trois d'entre eux ont retenu son attention ; outre SULLIVAN, déjà identifié, il y a un certain Harold GREEN, spécialiste en déminage et un certain Wendell FREEMAN III, ancien commando, les trois hommes ont en commun d'avoir participé au relais 16km à la nage. Ils sont tout trois d'excellents plongeurs et, force est de constater qu'ils formeraient une excellente équipe, très bien entraînée. Le téléphone sonne, Mac décroche et s'entretient avec Harriet. Bud veut faire dire qu'il n'est pas là mais Mac lui tend le combiné. Elle sourit à Harm. Les avocats s'accordent pour libérer le lieutenant une journée pour qu'il aille à la rencontre de ses futurs beaux-parents. Ainsi poussé et contraint, le pauvre Bud crie à la trahison de la part de ses supérieurs ! Dans la grosse voiture qui les conduit au domicile des parents d'Harriet, la mère plaisante au sujet du prénom de son futur gendre, le même que celui du chien du président....elle fait mine, d'un air hautain et dédaigneux, de s'intéresser à ses goûts ; la pauvre Harriet est confuse d'une telle attitude.

Après avoir rencontré FREEMAN, tout aussi tête brûlée que SULLIVAN et sûr de la justesse de leur participation à la lutte antidrogue, Harm et Mac dressent rapport téléphonique à l'Amiral de l'état d'avancement de leurs recherches. A l'évocation du nom de FREEMAN, CHEGWIDDEN ne peut y croire, il connaît la réputation de l'homme, le premier commando afro-américain, mais il doit avoir soixante ans..soixante-trois, précise Mac, et c'est bien là, la moyenne d'âge de l'équipe en cause dans la destruction du yacht de MENDOZA. Alors que WEBB impose la mise sous les verrous de tout ce petit monde, l'Amiral, content de voir ainsi perdurer la tradition militaire, se rallie au juste mobile exposé par les avocats, la mort accidentelle du petit fils de SULLIVAN, et leur laisse carte blanche pour les suites à donner à l'affaire puisque WEBB ne veut pas s'engager à faire lever l'immunité diplomatique du trafiquant notoire.

SULLIVAN, GREEN et FREEMAN sont chez JUNGLE LARRY où ils font des courses conséquentes en matériel militaire en tout genre : ils en ont déjà rempli un chariot et continuent bruyamment pendant que le commerçant téléphone à Harm, comme il le lui avait promis. Les avocats arrivent immédiatement sur place et commencent à dissuader les vétérans de poursuivre leur plan mais surviennent MENDOZA et ses hommes. Le danger est imminent et il faut fuir, par l'arrière de la boutique. MENDOZA a fait le tour et se tient là, menaçant et armé : il capture SULLIVAN. JUNGLE LARRY rejoint le groupe en courant et tire à l'arme lourde contre MENDOZA mais le rate. Le criminel jette son otage au fond d'un véhicule alors que son sbire cadenasse la grille : Harm, coincé et sans assez d'élan pour franchir l'obstacle, ne peut sauver le vieil homme.

Pendant ce temps là, Bud est arrivé chez les parents d'Harriet : il est ébahi par la splendeur de la villa et l'opulence dans laquelle vit sa dulcinée. Oui, il s'agit bien là du mode de vie de ses parents et elle a été inscrite au balle des Débutantes. Mais elle est aussi un garçon manqué et c'est la raison pour laquelle elle s'est engagée et inscrite à l'école des officiers. Le lieutenant lui déclare solennellement être tombé amoureux d'une enseigne belle et intelligente et se moquer complètement de ses origines : les deux amants s'embrassent tendrement. Le père d'Harriet veut s'entretenir avec son futur gendre et congédie sa fille. Il mène le jeune homme au fond de la propriété. Les deux hommes tirent des pigeons d'argile et semblent très vite bien s'entendre.

19H34GMT – POSTE DES GARDE-CÔTES – MIAMI – FLORIDE

Harm et Mac interrogent GREEN et FREEMAN qui se montrent fort peu coopératifs. Ils allèguent leur grand âge et des problèmes de santé auxquels les deux avocats ne croient nullement. Leur foi dans la capacité de résistance de SULLIVAN n'a d'égale que leur inconscience du danger encouru, Harm et Mac sont effrayés d'apprendre le vol survenu de l'argent de la drogue et ne doutent pas que MENDOZA fera tout pour le récupérer.

Dans la somptueuse cuisine de sa toute aussi somptueuse villa, avec une attitude de diva, la mère d'Harriet entreprend sa fille sur la situation matrimoniale du séduisant capitaine RABB. L'enseigne refuse de la suivre sur ce terrain et ne veut parler que de l'homme qu'elle aime, soit Bud. La mère, décidément, ne comprendra jamais sa fille ! Au moment de passer à table, Bud reçoit un coup de téléphone du capitaine qui le rappelle sur l'enquête. Il doit prendre congé et rentrer à Miami. Il s'enquiert d'un endroit où louer une voiture mais le père d'Harriet l'en dissuade : il met une de ses voitures à sa disposition et viendra la récupérer le lendemain, l'occasion de déjeuner ensemble. Le lieutenant est réticent mais l'homme lui lance les clés de...la jag....il y sera en une heure !

SULLIVAN est aux mains de MENDOZA et un de ses sbires : il ne semble pas effrayé et leur tient tête mais il est rudoyé et frappé. Son domicile est mis à sac mais, visité par Harm, Mac et les deux autres vétérans, il apparaît vite que l'argent volé n'a pas été trouvé, il est toujours caché au fond de la gorge d'un...espadon empaillé !

SULLIVAN se bat toujours contre les deux hommes. S'il parvient encore un temps à leur tenir tête, il se trouve maintenant mis en infériorité et tenu en respect sous la menace d'une arme. Il ne doit la vie sauve qu'à un appel téléphonique qui informe ses ravisseurs de ce que l'argent a été retrouvé. Rendez-vous est fixé à quinze heures, à la marina.

20H51GMT – MARINA DE MIAMI – FLORIDE

SULLIVAN y est amené en hors-bord, sous la menace de MENDOZA armé et de l'un de ses sbires. Un examen rapide des alentours témoigne de la présence de quelques touristes, outre un homme en train de repeindre son bateau ; Pas de trace de policier autour de deux vieillards descendant le ponton en brandissant une mallette de façon ostentatoire. L'homme de main du trafiquant saute à terre et interpelle les deux hommes qui lui livrent la valise. A terre, après leur avoir montré l'arme accrochée à sa ceinture, il l'ouvre et constate qu'elle contient bien les billets volés. Il se redresse et son regard est irrésistiblement attiré par une jeune femme superbe, vêtue d'un simple deux pièces, qui s'avance vers lui d'une démarche chaloupée, balançant un panier de pique-nique au bout de son bras bronzé. Sure d'elle, Mac marche vers lui et le frôle : l'homme en a le souffle coupé...soudain, elle lui asperge le visage de gaz lacrymogène en même temps que Harm abandonne l'embarcation qu'il faisait mine de repeindre pour maîtriser MENDOZA et libérer SULLIVAN. Ce dernier reproche à ses camarades le temps mis à intervenir mais ils se défendent de n'avoir pu faire autrement, accompagnés qu'ils étaient de petits jeunes !

La police a pris le relais des militaires et interpellé MENDOZA. Mac a repassé un chemisier sur son maillot de bain quand arrive un magnifique coupé Jaguar décapoté de couleur bordeaux. A son bord, Bud demande à Mac l'autorisation de parler librement : il n'a qu'un mot, une exclamation de stupeur admirative ; après avoir expliqué à Harm l'origine du véhicule, il demande à Mac si elle est tentée par un tour en « jag », avec un « JAG » ! Harm, amusé, les laisse partir.

Il s'occupe de SULLIVAN et sa bande de vétérans, tente de les dissuader de poursuivre leur combat mais ce ne sont que mots perdus : il n'a soixante-douze ans que sur le papier et se sent, dans sa tête, toujours très jeune, pour lui,les vieux héros ne meurent jamais, ils ne servent qu'à alimenter les légendes.

De retour au JAG, l'Amiral informe ses avocats des tentatives de Enrique MENDOZA pour minimiser les charges de trafic de drogue retenues contre son fils et du risque de poursuites pesant contre les trois vétérans. Harm demande la permission d'assurer leur défense. Pour l'amiral, ce ne sera sans doute pas nécessaire si les hommes acceptent de se faire oublier....Mac et Harm en doutent et ils n'ont pas tort : dans la chambre de SULLIVAN, autour de sa table de salle à manger, les trois hommes discutent de l'achat d'un bateau... 

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