Revue de presse de la série JAG, David James Elliott - Inscris-toi gratuitement et surfe sans pub !
. De Smith à Elliott .
Par François RHODES – journaliste au Desert Golf Magazine –
A 43 ans, le pensionnaire du désert David James Elliott se régale de ce que la vie lui a donné de mieux. En commençant par Nanci Chambers sa jolie femme depuis 12 ans et ses superbes enfants Stéphanie et Wyatt. Il s’amuse aussi dans le rôle de la série TV à succès JAG et avec un futur heureux facilement décrit sans limite.
Quand il était ado, jouer la comédie n’était pas ce que ce canadien né – David Smith - avait en tête, la musique était sa passion et être le chef d'un groupe était son but ultime. Laissant tomber l’école pour accomplir son deuxième souhait, Smith s’aperçu très vite que qu’être un « routard musical » n’était pas tout ce qu’il avait imaginé. De concerts douteux à des tensions dans le groupe, Smith décida que cela avait assez duré et rentra à la maison finir ses études.
Dans le processus de fin d’études, le cours de théâtre de Smith étudiait Le Roi Lear. Lisant une partie de la pièce de façon impressionnante, son professeur encouragea Smith à considérer une carrière d’acteur. Le fait que Smith ne connaissait rien sur le jeu d’acteur et n’ai jamais vu ou participé à une pièce, ne l’a pas dissuadé. Smith a auditionné pour le Reyson Polytechnic Institute à Toronto et a été accepté.
De Shakespeare aux films B, Smith a vite eu un rôle secondaire dans une série TV très cotée au Canada et est devenu un pensionnaire de renom. Obtenant le titre du célibataire de l’année dans Flare Magazine, Smith avait en tête Hollywood. En 1990, il déménage pour Los Angeles. Une fois sur place il doit s’inscrire au « Screen Actor Gild », le nom de Smith devait devenir « David Elliott » mais étant déjà pris, il ajouta « James » et devient David James Elliott.
Elliott maintenant vedette en tant que Commander Harmon « Harm » Rabb Jr un vaillant, talentueux avocat de la Navy et officier du JAG, qui est actuellement dans sa 9ème saison et constamment classé dans le top 10. Avec la stabilité d’une série au sommet, Elliott est capable d’assouvir une autre passion, « Je suis un tri-athlète et suis en train de m’entraîner pour l’Iron Man d’Hawaï l’année prochaine et aussi le marathon de Boston ». Ajoutons à sa liste, l’écriture, la plongée en apnée, le vélo, le kickboxing, et bien sur le golf. La vie d’Elliott est complète.
Le golf était le sport favori de son père rappelle Elliott. « Je me souviens regarder le golf avec mon père quand j’étais gamin » mon père était un fan de Jack Nicklaus –aussi nous avions l’habitude d ‘aller le voir jouer, je n’étais même pas golfeur » ajoute Elliott avec un gloussement. Avec une constante incitation de son père, Elliott commença à pratiquer à l’âge de 23 ans au Hornby Hills Golf Course au Canada et se considère maintenant comme « obsédé par le jeu ».
Actuellement Elliott est classé handicap 4, avec son meilleur parcours de 73 sur son green à Palm Desert. Tombant amoureux du désert au cours de sa première visite dans les années 90, ce fut un rêve pour lui d’avoir sa maison là-bas un jour. « Ma première visite dans le désert fut à Palm Spring. Je suis tout de suite amoureux de l’endroit en raison du temps et de la sérénité. A peu près 4 ans plus tard, j’ai finalement acquis une maison ici près d’un parcours de golf et j’ai toujours eu le sentiment d’être loin de tout alors que Los Angeles est si près » explique-t-il. « Dès que je suis ici » continue-t-il « le stress disparaît »
Partageant son temps entre ses maisons du Canada, des Bahamas, Los Angeles et Palm Desert, c’est dans le désert que la famille Elliott passe le plus de fins de semaine. Pour avoir jouer sur plusieurs parcours dans la vallée « Coachella » Elliott est un membre de deux d’entre eux mais préfère taire les noms. « Je vais sur le parcours presque chaque fin de semaine et une fois pendant la semaine, » admet il » mais au boulot j’ai aménagé un petit « practice » avec un grand filet et des protections, un magnéto et une machine pour les balles. Un de mes copains, qui est un golfeur débutant, et moi travaillons notre swing toute le semaine au boulot et pendant le week-end, nous nous éclatons ! »
Comme beaucoup d’autres célébrités que DGM a interrogé, le « Bob Hope Chrysler Classic » est le préféré, incluant Elliott. Le Bob Hope est mon préféré parce que j’aime les parcours où nous jouons, vous jouez avec des pros différents chaque jour, le temps est génial, ils vous traitent avec respect et c’est beaucoup de plaisir. »
C’est son espoir que son fils de 11 mois Wyatt devienne son « pote de golf » et qu’il soit obsédé par le jeu comme lui même. Mais actuellement pour Elliott, c’est avoir du plaisir dans ce jeu et « bien le jouer ainsi qu’être en bonne compagnie. »
Simplement fixé, ce très privé et dévoué père de famille continue à chanter et jouer de la guitare devant le plus précieux des publics de trois personnes, sa famille.